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PUBLIREDACTIONNEL : Matahi, fort comme un baobab

PUBLIREDACTIONNEL : Matahi, fort comme un baobab

Le 04/04/2018

Non ce n'est pas nouveau de consommer des fruits de baobab, c'est même absolument traditionnel en Afrique, depuis de nombreuses décennies ! Il faut dire que ce fruit extraordinaire contient 7 fois plus d'antioxydants que la grenade, 6 fois plus de vitamine C que l'orange, 6 fois plus de potassium que la banane, 3 fois plus de calcium que le lait... Les habitants du Sahel (le baobab est consommé partout en Afrique et pas uniquement au Sahel) n'ont pas attendu les scientifiques pour mesurer les bienfaits de ces étranges superfruits, même si en Europe, ils ne sont autorisés à la consommation humaine que depuis 2008 !

Non ce n'est pas nouveau de consommer des fruits de baobab, c'est même absolument traditionnel en Afrique, depuis de nombreuses décennies ! Il faut dire que ce fruit extraordinaire contient 7 fois plus d'antioxydants que la grenade, 6 fois plus de vitamine C que l'orange, 6 fois plus de potassium que la banane, 3 fois plus de calcium que le lait... Les habitants du Sahel (le baobab est consommé partout en Afrique et pas uniquement au Sahel) n'ont pas attendu les scientifiques pour mesurer les bienfaits de ces étranges superfruits, même si en Europe, ils ne sont autorisés à la consommation humaine que depuis 2008 !

 

Ingénieurs agronomes, Raphaël Girardin et Alexandre Giora ont créé Matahi en 2013, pour imaginer et commercialiser une boisson énergisante naturelle et bio au fruit du Baoab. Au Bénin, ils se sont associés à 7 coopératives de femmes pour créer une coopérative qui organise la collecte de fruits de baobab depuis 2009. Ils ont réfléchi à des actions collectives pour obtenir le meilleur de cet arbre sacré. Tout en veillant à ne pas rompre l'équilibre local naturel : la vente des fruits de baobab est un appoint financier intéressant et permet d'améliorer le quotidien de 400 familles sans pour autant le bouleverser.

 

Depuis sa création, MATAHI et la coopérative ont replanté 2000 arbres aux abords du village et de la coopérative, qui donneront des fruits dans environ 10 ans.

lI est nécessaire de  faciliter le travail de récolte car dans la nature, les baobabs sont épars, leurs fruits appelés aussi « pain de singe »,  tombent au sol au fur et à mesure, lorsqu'ils sont secs - c'est ainsi qu'on les consomme. C'est donc beaucoup de travail ! Désormais des grimpeurs spécialisés partent à l'assaut des géants pour tout récolter en une seule fois dès que les fruits sont mûrs, entre décembre et mars.

Le travail est ensuite assez difficile, ce sont les femmes de la coopérative Superfruit du baobab qui s'en chargent. Il faut fendre l'écorce, prélever la pulpe sèche, séparer les graines qui donneront une huile extrêmement précieuse en cosmétique. La pulpe  est réduite en poudre et achetée à la coopérative par MATAHI. Pour être au plus près de ses valeurs écologiques, le transport ne se fait qu'une fois par an, et par bateau pour réduire l’impact carbone.

 

La start up est installée à Montpellier. Elle a fait des recherches pendant deux ans pour mettre au point une boisson qui préserve au mieux les propriétés de la pulpe de baobab. Simplement réhydratée et additionnée d'un peu de sirop d'agave, elle est vendue en bouteilles de verre transparentes dans les magasins du réseau Biocoop. Le goût du baobab est assez subtil et délicat, il rappellerait un peu celui de la poire ou du kiwi. Il peut être consommé tel quel, mélangé avec d'autres jus de fruits pour un cocktail,  et constitue aussi une excellente base pour réaliser des smoothies énergétiques.

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